sábado, 31 de diciembre de 2016

DÉDUCTION SISTEMATIQUE PARTIE VI





















viernes, 30 de diciembre de 2016

DÉDUCTION SISTEMATIQUE PARTIE V

Questions auxquelles répondre dans une enquête de diffusion scientifique.

 

Quoi : Une description claire et concise du sujet abordé.

Quel problème ou phénomène fait l’objet d’une enquête ? Quel impact cela a-t-il ?

 

Qui : Identifier les principaux acteurs impliqués.

Qui sont les scientifiques ou les institutions qui mènent la recherche ?

Qui sont les personnes concernées par le problème ?

 

Quand : Fournissez un délai.

Quand l’enquête a-t-elle commencé ?

Quand les résultats devraient-ils être obtenus ou les solutions mises en œuvre ?

 

Où : spécifie l'emplacement.

Où se déroulent les recherches ?

Où le problème est-il observé ?

 

Pourquoi : Expliquez l'importance.

Pourquoi cette recherche est-elle pertinente ?

Pourquoi la population devrait-elle s’en soucier ?

 

Pourquoi : Enfin, discutez du but et des implications.

A quoi sert cette recherche ?

Comment pouvez-vous contribuer à résoudre le problème ?



viernes, 23 de diciembre de 2016

INTRODUCTION CANADA







DÉDUCTION SYSTEMATIQUE PARTIE I.

DYNAMIQUE DES SYSTÈMES ET SYSTÈMES OUVERTS.

Créez un modèle d'écosystème.

1. Nécessite une compréhension approfondie de l’écosystème que vous souhaitez modéliser.

2. Identification des composantes de l'écosystème : peut inclure différentes espèces d'animaux et de plantes, les caractéristiques du paysage, le climat, etc.

3. Établir des relations : entre les différentes composantes de l'écosystème.

Par exemple, quelles espèces se nourrissent des autres, comment le climat affecte la croissance des plantes, etc.

4. Création d'équations : Créez des équations pour décrire les relations que vous avez établies. Ces équations peuvent être basées sur des observations empiriques, des théories écologiques, etc.

 

Le modèle de culture iceberg d'Edward T. Hall fait la distinction entre les 10 % de culture externe (superficielle), qui sont visibles par les autres, et les 90 % de culture interne (profonde), qui sont visibles par les autres et que d'autres ne peuvent voir qu'avec du temps et des efforts. .

Culture visible : Ce sont les aspects de la culture que nous pouvons voir, entendre et toucher. Par exemple, la langue, l’architecture, la musique, la nourriture, la mode, etc.

Normes et valeurs : ce sont les règles non écrites qui guident le comportement dans une culture. Par exemple, les normes de courtoisie, les valeurs familiales, les attitudes envers le travail, etc.

Croyances et hypothèses : ce sont des croyances profondément ancrées qui sont souvent considérées comme allant de soi dans une culture. Par exemple, les croyances religieuses, les hypothèses sur la nature humaine, etc.

Attitudes et comportements : ce sont les manières de penser et d’agir qui sont valorisées dans une culture. Par exemple, l’importance accordée à l’éducation, les attitudes face à la réussite et à l’échec, etc.

Chaque niveau du modèle influence les autres niveaux. Par exemple, les croyances et les hypothèses d'une culture peuvent influencer ses normes et ses valeurs, qui à leur tour peuvent influencer les attitudes et les comportements visibles.




Pourquoi la méthode est-elle utilisée dans la production de connaissances ?

Structurer et orienter le processus de recherche.

Elle permet de formuler des hypothèses, de recueillir des données par l’observation et l’expérimentation. Elle permet de tirer des conclusions fondées sur des preuves empiriques.

Les méthodes de recherche scientifique mobilisent du personnel spécialisé dans des lieux précis, isolés et protégés du monde extérieur (le laboratoire) et des activités de production de connaissances.

Pourquoi les résultats devraient-ils être publiés ? Les résultats de la recherche sont publiés afin de les partager avec la communauté scientifique et le grand public.

La publication permet de valider et de critiquer les résultats, favorisant ainsi l’avancement des connaissances. Il permet également de documenter le processus de recherche en vue d’une référence future.

Pourquoi est-il difficile de réfuter une loi scientifique ?  Il est difficile de réfuter une loi scientifique car ces lois sont généralement basées sur des observations ou des expériences répétées qui ont été validées par la communauté scientifique.

Une loi scientifique n’est réfutée que si de nouvelles observations ou expériences prouvent le contraire. Cependant, cela nécessite souvent des avancées technologiques ou conceptuelles.

Qu’est-ce que les différentes méthodes ont en commun ? Les différentes méthodes de connaissance, qu’elles soient définitionnelles, classificatoires, statistiques, hypothétiques, déductives, mesuratives, etc., ont en commun le but de découvrir, d’expliquer et de comprendre les phénomènes.

Tous impliquent une certaine forme de raisonnement, d’observation et d’interprétation, et sont guidés par des principes de rigueur et de vérifiabilité.

Avec cette méthode, pouvons-nous deviner l’avenir et connaître le passé ? Les méthodes de connaissance peuvent nous aider à comprendre le passé et à faire des prédictions éclairées sur l’avenir.

Par exemple, les historiens utilisent des méthodes de recherche pour comprendre le passé, tandis que les scientifiques utilisent des modèles et des théories pour faire des prédictions sur l’avenir. Cependant, ces prédictions sont généralement probabilistes et incertaines.

Qu’est-ce qui ne serait pas une méthode de connaissance ? Tout processus ou pratique qui ne suit pas les principes de rigueur, de vérifiabilité et de réfutation ne serait pas considéré comme une méthode de connaissance.

Par exemple, les croyances fondées uniquement sur des opinions personnelles, des superstitions ou des idées préconçues, sans preuve empirique ou logique, ne sont généralement pas considérées comme des méthodes de connaissance.

La méthode scientifique est une approche systématique et structurée pour comprendre les complexités du monde naturel.

Elle est ancrée dans la recherche empirique et constitue la pierre angulaire de la recherche scientifique. Voici les étapes clés de la méthode scientifique :

Observation : commence par une observation attentive, qui conduit à la formulation de questions pertinentes.

Formulation d’hypothèses : Ces questions donnent lieu à des hypothèses : tentatives d’explications ou de prédictions sur des phénomènes observés.

Expérimentation : Pour valider ces hypothèses, les chercheurs mènent des expériences, en analysant soigneusement les données obtenues pour en tirer des conclusions.

Analyse et conclusion : les données sont analysées et des conclusions sont tirées.

Si les résultats soutiennent l’hypothèse, celle-ci est renforcée. Si les résultats n’appuient pas l’hypothèse, celle-ci peut être révisée ou rejetée.


L’une des caractéristiques déterminantes d’une hypothèse scientifique est sa falsifiabilité.
Cela signifie que pour qu’une hypothèse soit considérée comme scientifique, il doit y avoir un résultat potentiel qui peut la réfuter.

En d’autres termes, elle devrait pouvoir être testée par rapport à des preuves empiriques. Il est important de noter que la méthode scientifique n’est pas une simple progression linéaire d’étapes, mais intègre un ensemble de principes généraux qui peuvent être adaptés à différents domaines d’étude.

Bien que les détails puissent différer, l’essence reste la même : conjectures, prédictions et preuves empiriques.

 


  • La déduction et le rationalisme sont étroitement liés, tout comme l’induction et l’empirisme.

    Déduction et Rationalisme : Le rationalisme est une philosophie qui privilégie la raison comme source principale de connaissance.

    Dans le rationalisme, la méthode déductive prévaut pour accéder à la vérité. Cette méthode va du général au particulier, c’est-à-dire qu’elle part de principes généraux pour arriver à des conclusions spécifiques.

    Par exemple, si nous avons le principe général que “tous les hommes sont mortels” et que “Socrate est un homme”, nous pouvons déduire que “Socrate est mortel”.

    Induction et Empirisme : L’empirisme est une philosophie qui soutient que toute connaissance provient de l’expérience sensorielle.

    Dans l’empirisme, la méthode inductive est prédominante. Cette méthode génère des conclusions générales à partir de cas particuliers.

    Par exemple, si nous observons que le soleil s’est levé tous les jours de notre vie, nous pourrions induire que “le soleil se lève tous les jours”. Cependant, cette conclusion est basée sur notre expérience et pourrait être réfutée par de nouvelles observations.

    Les scientifiques utilisent souvent une combinaison de déduction et d’induction dans leur travail.



La méthode analogique est un processus de raisonnement qui repose sur la capacité associative de l’esprit.

Elle consiste à prendre une expérience passée et à la comparer à une expérience actuelle, afin de tirer des conclusions sur l’expérience actuelle à partir d’autres expériences déjà réalisées.

 Cette méthode peut faciliter l’accès à un contenu théorique en faisant un détour par l’imaginaire, l’émotion, ou un domaine familier.

On dit que la logique est analogique car elle se fonde sur la comparaison entre deux éléments.

Cette comparaison peut aider à éclairer le raisonnement et à mieux définir certaines notions abstraites. La logique analogique complète le raisonnement déductif, inductif ou dialectique.

La logique analogique est importante pour la science car elle permet de modéliser des arguments exprimés en langage naturel et de formaliser le raisonnement.

Elle est fondamentale dans de nombreux domaines scientifiques et de l’ingénierie (biologie, chimie, droit, informatique, intelligence artificielle, linguistique, mathématiques, médecine, philosophie, psychologie…) et de la vie courante en général.

La portée de la logique analogique est vaste. Elle est utilisée dans les arguments de tous les jours, mais c’est aussi un outil fondamental dans le domaine professionnel.

Par exemple, la méthode analogique est largement utilisée dans les tribunaux par des avocats cherchant à convaincre le jury et le juge de leur cause.

De plus, elle est utilisée pour mesurer, évaluer ou capter un élément naturel (son, image, phénomène…), il est généralement nécessaire de disposer d’une interface analogique.

Le fonctionnement de la méthode analogique repose sur la comparaison de deux choses et la recherche de leurs similitudes.

 Par exemple, si l’argument A est similaire à l’argument X, l’argument A peut être utilisé pour expliquer X1. Cette méthode nécessite que les deux choses comparées présentent de fortes similitudes. Plus il y a de similitudes partagées par les deux comparés, plus l’argument de l’auditeur est valable.


La déduction systématique, ou déduction du système, est une méthode de raisonnement qui part d’un système de principes généraux pour arriver à des conclusions spécifiques. Voici comment elle fonctionne et quelles sont ses principales règles :

Principes généraux : La déduction systématique commence par l’établissement de principes généraux ou de lois universelles. Ces principes peuvent être basés sur des théories scientifiques, des axiomes mathématiques, ou d’autres formes de connaissances générales.

Raisonnement logique : À partir de ces principes généraux, on utilise le raisonnement logique pour tirer des conclusions spécifiques. Ce raisonnement suit des règles strictes de logique pour garantir la validité des conclusions.

Conclusions spécifiques : Les conclusions spécifiques sont le résultat du processus de déduction. Elles sont dérivées directement des principes généraux et sont donc considérées comme vraies si les principes généraux sont vrais.

Vérification : Bien que la déduction systématique produise des conclusions logiquement valides, il est toujours important de vérifier ces conclusions par l’observation ou l’expérimentation. Cela permet de s’assurer que les principes généraux sont corrects et que le raisonnement déductif a été correctement appliqué.

Il est important de noter que la déduction systématique est une méthode de raisonnement très utilisée en science et en mathématiques, mais elle est également applicable dans de nombreux autres domaines.